Des recrues à bas coût et des départs attendus

Le FC Nantes a sauvé sa place en Ligue 1 lors de la dernière journée, mais les réjouissances seront de courte durée. Le club entre dans une période de rigueur budgétaire, sous l’impulsion de Waldemar Kita.

Selon Ouest-France, le président nantais aurait décidé de plafonner les salaires des futures recrues à 50 000 euros mensuels. Une décision forte qui en dit long sur l’orientation du mercato à venir. Exit les joueurs expérimentés ou les pistes ambitieuses, les Canaris se tourneront vers des profils libres, des paris à relancer ou des éléments méconnus. Une politique à hauts risques après une saison tendue.

Pour équilibrer les comptes, plusieurs joueurs pourraient être sacrifiés cet été. Nathan Zézé, Moses Simon ou encore Matthis Abline disposent d’une belle cote et pourraient permettre au club de respirer financièrement. Mais ces ventes affaibliraient un effectif déjà limité, ce qui inquiète les supporters.

La saison à venir s’annonce délicate à la Beaujoire. Si la rigueur économique peut se justifier, elle ne doit pas se faire au détriment de la compétitivité sur le terrain.

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